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Articles de mfressard

  • Le message du Sacré-Coeur de Jésus à Paray-Le-Monial

    Jésus a confié le message de son Coeur tout aimant et tout aimable à Marguerite Marie, une religieuse contemplative du couvent de la Visitation, qui a compté sur l’aide de son confesseur, le père Claude de La Colombière, pour répandre ce message dans le monde entier.

     

     

     

  • Ne saviez-vous pas qu'il me faut être chez mon Père?

     

    Ne saviez-vous pas qu'il me faut être chez mon Père?

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (Lc 2, 41-51)

    Chaque année, les parents de Jésus se rendaient à Jérusalem pour la fête de la Pâque.

    Quand il eut douze ans, ils montèrent en pèlerinage suivant la coutume. À la fin de la fête, comme ils s'en retournaient, le jeune Jésus resta à Jérusalem à l'insu de ses parents. Pensant qu'il était dans le convoi des pèlerins, ils firent une journée de chemin avant de le chercher parmi leurs parents et connaissances.

    Ne le trouvant pas, ils retournèrent à Jérusalem, en continuant à le chercher.

    C'est au bout de trois jours qu'ils le trouvèrent dans le Temple, assis au milieu des docteurs de la Loi : il les écoutait et leur posait des questions, et tous ceux qui l'entendaient s'extasiaient sur son intelligence et sur ses réponses.

    En le voyant, ses parents furent frappés d'étonnement, et sa mère lui dit : « Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Vois comme ton père et moi, nous avons souffert en te cherchant ! »

    Il leur dit : « Comment se fait-il que vous m'ayez cherché ? Ne saviez-vous pas qu'il me faut être chez mon Père ? »

    Mais ils ne comprirent pas ce qu'il leur disait. Il descendit avec eux pour se rendre à Nazareth, et il leur était soumis.

    Sa mère gardait dans son cœur tous ces événements. 

     

    https://hozana.org/

     

     

  • Frère Christian de Chergé

     

    Né le 18 janvier 1937 à Colmar (Haut-Rhin), il est entré au monastère de l’Atlas le 20 août 1969, étant déjà prêtre (ordonné le 21 mars 1964). Il fit son noviciat à Aiguebelle et sa profession solennelle à l’Atlas le 1er octobre 1976.

    Il était prieur titulaire de l’Atlas depuis 1984. Il avait étudié à Rome de 1972 à 1974 et était très impliqué dans le dialogue entre les religions.

    Son Testament, écrit plus d'un an avant sa mort, mais découvert après, est déjà considéré comme une oeuvre classique de littérature moderne religieuse.

    "Je sais n’avoir que ce petit jour d’aujourd’hui à donner à Celui qui m’appelle pour TOUT JOUR mais comment lui dire oui pour toujours si je ne lui donne pas ce petit jour-ci … Dieu a mille ans pour faire un jour ; je n’ai qu’un seul jour pour faire de l’éternel, c’est aujourd’hui ! "

    (Frère Christian - Chapitre du 30 janvier 1990)

    Christian de Chergé est le second d'une fratrie de huit enfants. Elevé dans la droiture et la fidélité par son père militaire et dans la foi et la prière par sa mère, "ma toute première Eglise", Christian comprend très tôt (vers sept ans) qu'il veut devenir prêtre.

    Pendant son enfance, à partir d'octobre 1942, il passe trois ans en Algérie à Maison Carrée, aux portes d'Alger.

    Il dira : "C'est ma première rencontre avec la foi de l'autre différent ...".

    A Paris, à partir de 1945, il fait ses études à Sainte Marie de Monceau, collège tenu par les pères marianistes. Sa vocation est nourrie pendant cette même période par le scoutisme, à l'écoute de la Prière Scoute, inspirée de St Ignace de Loyola :

    "Seigneur Jésus, Apprenez-nous à être généreux, A Vous servir comme Vous le méritez, A donner sans compter ...."

     

                                                                                                     biographie christian seminaire des carmes 1964 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le 6 octobre 1956, à 19 ans, Christian entre au Séminaire des Carmes de Paris. Ses études au séminaire sont interrompues en 1958 quand sa promotion doit faire son service militaire. En juillet 1959, il part pour l'Algérie comme officier SAS (Sections Administratives spécialisées dont la mission immédiate consiste à rétablir le contact avec la population et à réactiver l'Administration sous toutes ses formes).

    Il se retrouve notamment dans le secteur de Tiaret avec le Colonel Lalande.

    Un évènement survenu à cette époque sera déterminant pour lui, tant dans son amour pour l'Algérie et les Algériens que dans son ouverture et son intérêt pour les musulmans. Christian se lie d'amitié avec Mohamed, un garde champêtre musulman d'une des communes administrées.

    "J'ai eu l'immense chance de pouvoir travailler avec Mohamed, un homme très simple qui était garde-champêtre ... et c'était la première fois que je pouvais, en adulte, parler de Dieu aussi simplement, dans la conscience claire qu'il était musulman et dans l'affirmation simple que j'étais chrétien".

    Survient un jour un accrochage au cours duquel Mohamed protège son ami et tente de pacifier les agresseurs.

    "C'était un homme qui se refusait de choisir entre ceux qu'il appelait ses frères et ses amis".

    Il est retrouvé assassiné un dimanche alors qu'il puisait de l'eau dans son puits.

    Christian, quelques jours auparavant, voyant son ami angoissé par les menaces qui pesaient sur lui, lui avait dit: "Dieu peut tout, je vais prier pour toi ", et il avait répondu : "Oui, merci. Mais, tu vois, c'est dommage, les chrétiens ne savent pas prier !".

     

                                                                                                     biographie christian amedee

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Christian sera marqué toute sa vie par cet épisode douloureux sur lequel il reviendra des années plus tard, dans une homélie sur Le Martyre de la charité (Jeudi Saint, 31 mars 1994) : "Je ne peux oublier Mohamed qui, un jour, a protégé ma vie en exposant la sienne... et qui est mort assassiné par ses frères parce qu’il se refusait à leur livrer ses amis. Il ne voulait pas faire le choix entre les uns et les autres. Ubi caritas... Deus ibi est !"

    Ce drame fut pour Christian de Chergé une expérience fondatrice et une semence de vocation :

    "Dans le sang de cet ami, assassiné pour n’avoir pas voulu pactiser avec la haine", dira-t-il en 1982, "j’ai su que mon appel à suivre le Christ devrait trouver à se vivre, tôt ou tard, dans le pays même où m’avait été donné ce gage de l’amour le plus grand ‘qui pro vobis et pro multis effundetur’... ".

    Début 1961, Christian revient en France. Il est ordonné prêtre le 21 mars 1964.

    Sur son image d'ordination, nous pouvons lire :

    « Ils ont demandé du Pain, et personne pour le leur partager » (Lamentation de Jérémie 4,4).

    Quand Christian a été assez sûr de sa vocation monastique en Algérie, Monseigneur Veuillot, archevêque de Paris, lui demande de donner du temps au diocèse de Paris. C'est ainsi qu'il est nommé chapelain de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre et directeur de la Maîtrise de Montmartre. Il devait y rester jusqu'en 1968. Monseigneur Marty lui demandera de prolonger d'un an.

     

                                                                                                                       biographie christian robe

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le 20 août 1969, fête de saint Bernard de Clairvaux, il entre au noviciat du monastère d’Aiguebelle, mais son engagement est déjà en Algérie. Le 15 janvier 1971, il arrive à Notre-Dame de l’Atlas. Le 26 août 1972, alors qu'il est encore profès temporaire, il part à Rome deux ans pour étudier la langue et la culture arabes ainsi que la religion musulmane, à l’Institut Pontifical d’Études Arabes et Islamiques des Pères Blancs. Ce furent des années d’approfondissement spirituel de la tradition religieuse musulmane. 

    Il expliquera : "ce qui me paraissait important c'était l'apprentissage de la langue et la fréquentation du Coran dans un but tout à fait particulier ... pour entrer en dialogue avec nos voisins si l'occasion s'en présentait". 

    Sa curiosité passionnée le porte à scruter de manière contemplative (en moine) le mystère de l’Algérie devant Dieu.

    Il fait sa profession monastique perpétuelle le 1er octobre 1976. Dans sa demande rédigée le 14 septembre 1976, il laisse parler son cœur : 

    « Je crois le moment venu de m’enraciner plus avant dans le sens d’un appel tenace. (...) J’éprouve aussi le désir de placer le surcroît d’incertitude où nous vivons "hic et nunc" sous le signe d'un surcroît de confiance et d'abandon. (...) Ce monastère est  comme la fiancée de mon choix, plus imparfaite que mon rêve, mais unique en sa réalité ! (...) Je souhaite que mes frères "stabiliés" de l'Atlas m'admettent définitivement parmi eux au nom même de cette continuité, me donnant de vivre dans la PRIÈRE, au service de l'Église d'Algérie, à l'écoute de l'âme musulmane, s'il plaît à Dieu jusqu'au dernier don de ma mort, ut in omnibus glorificetur Deus ! ».

    En 1979, afin d'éprouver sa vocation, il part en ermite quelques semaines à l'Assekrem dans le Hoggar chez le Père de Foucauld.

    Christian fut élu Prieur titulaire de l’Atlas en 1984 et réélu en 1990. Il fut un des piliers du groupe "Ribat es-Salam" (Le Lien de la Paix) qui se réunissait dans le monastère depuis l’année 1979.

    Le nom du groupe n’est pas étranger à la parole de Saint Paul : « Appliquez-vous à conserver l’unité de l’Esprit par ce lien qu’est la paix » (Ep 4,3).

     

                                                                                                     biographie christian assis

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Christian était aussi très attaché à la coopération dans l'ordre du travail, partagé entre les moines et les quatre associés du village. Il appelait cela "des travaux pratiques d'espérance !". Il était heureux que deux des associés partagent aussi le Ribat, vivant ainsi "la double exigence" du travail et de la prière, le "ora et labora" des moines.

    De fait, la méditation sur le martyre (témoignage) accompagnera Christian les deux dernières années de sa vie, à la suite de méditations sur le Christ : 

    Le "martyre de la charité" : Jeudi Saint (31 mars 1994) ;   Le "martyre de l’innocence" : Vendredi Saint (1er avril 1994) ; Le "martyre de l’espérance" : Vigile pascale (2/3 avril 1994) ; Le "martyre de l’Esprit Saint" : Pentecôte (22 mai 1994) ; Obscurs témoins d’une espérance : en mémoire des premiers martyrs d’Afrique (17 juillet 1994).

    Enfin, il aborde de nouveau le thème du martyre avec ces paroles attribuées à Thomas Becket :

    « Le martyr ne désire plus rien pour lui-même, pas même la gloire de souffrir le martyre »

    (Journée de carême, 8 mars 1996).

     

                                                                                                          biographie tibhirine groupe

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Comme saint Paul a essayé durant toute sa vie de comprendre la place d’Israël dans le plan divin du salut, Christian a beaucoup médité sur la place de l’Islam dans le mystère salvifique de Dieu.

    Les textes réunis dans L'invincible Espérance montrent l'enrichissement qu'il puise dans sa foi chrétienne au contact des musulmans du village qu'il côtoie. Marqué par le témoignage de Mohamed pendant son service comme officier français, il a souhaité approfondir cette relation à l'Autre et aux autres au travers de la prière. C'est en moine et en mystique qu'il s'exprime.

    Il nous laisse de nombreux écrits, dont son Testament spirituel - "Quand un A-Dieu s'envisage" - qui fut rédigé fin 1993 : cette année-là, pendant la nuit de Noël, un groupe du GIA envahit le monastère, tente d'imposer ses exigences sous la menace et finit par se retirer lorsque Christian annonce à leur chef, Sayah Attiyah, que la communauté fête la venue du Prince de la Paix, le Christ.

    Ses homélies et ses Chapitres à la Communauté de Tibhirine ont fait l'objet de publications (recension à la page Bibliographie).

     

    Avec six frères de sa communauté, il est enlevé dans la nuit du 26 au 27 mars 1996.

     

    Frère Christian (moines-tibhirine.org)

     

     

  • Se tenir au pied de la croix !

     

    Nous voulons choisir une heure pour nous unir à Jésus qui a tant aimé les hommes et lui manifester notre gratitude.

    Nous désirons alors apprendre à glorifier Dieu par toute notre vie. Aussi bien dans les tâches ménagères que dans la prière ou au cœur du travail, au début de mon heure je choisis tout ce que je veux vivre pendant cette heure, uni à Jésus.

     

     

     

    Hozana - Réseau social de prière

     

     

  • Léon Bloy

     

     

     

     

     

    Un spectre hante la France littéraire à la charnière du xixe et du xxe siècle. Sa plume est trempée dans le vitriol, sa foi sans compromis, sa pauvreté non fein­te et sa fureur torrentielle. Quant à sa noto­riété littéraire, d’abord à l’om­bre de Barbey d’Aurevilly, Villiers de L’Isle-Adam, de Mais­tre ou ­Huysmans qui furent ses maîtres, elle est en partie liée à son humeur, mauvaise, contre tous les écrivains à la mode qu’il conspue sans relâche.

    Polémiste tourmenté contre son siècle ennemi de Dieu, Léon Bloy (1846-1917) vitupère les « catins des lettres » : Emile Zola, bien sûr, « iconographe de la décadence », mais aussi Paul Bourget ou Guy de Maupassant, ne respectant que Baudelaire et Verlaine. « En comparaison de Bloy, écrivait le grand critique Pascal Pia, le Bernanos des jours d’orage n’est encore que miel et confiture de roses. » Léon Bloy ne cesse de cultiver ce paradoxe, souligné par Pierre Glaudes dans son bel essai Léon Bloy, la littérature et la Bible (1) : il vit pour l’écriture et non pour la littérature. Quand il évoque cette dernière, il n’est pas dans la demi-mesure : la litté­rature, sans « enthousias­me » et sans Dieu, n’est plus que « la plus vile des créatures et la plus déshonorante des inventions qui abrutissent […]. Athée, fille d’athées, mère d’athées, trois fois sacrilège, soixante-dix-sept fois marquise de la luxure et de l’impiété, cette littérature est devenue quelque chose comme le vomissement des siècles sur le fumier définitif de la pensée et du langage. »

    L’homme, que la conversion au catho­licisme, à 23 ans, marqua au fer rouge, n’est guère conciliant, acharné à se forger des hai­nes, que ce soit celles qu’il inspirait ou celles qu’il dégor­geait. A s’enivrer des textes de Bloy, qui se disait « chrétien des catacombes », et à dévorer la remarquable biographie que lui consacre aujourd’hui Emmanuel Godo, on comprend que la précarité dans laquelle l’auteur du Sang du pauvre se débattit toute sa vie fut plus qu’un état social : le complet dénuement, à la fois subi et recherché, entretint sa colère. ­Journaliste pour survivre, il fut successivement ­viré de L’Univers en 1874, puis du Figaro en 1884 — journaux catholiques pourtant, mais qui se méfiaient de ce chien enragé. Il était aussi en délicatesse avec Le Chat noir, trop carnavalesque à son goût, et qui en 1882 l’avait caricaturé, dans un dessin d’Uzès, en moine-­soldat. Viré enfin de Gil Blas, en 1895. La presse moderne, qu’il dévorait pourtant avidement, comme une nauséeuse documentation, il la définit simplement : « Le cul et la galette, tel est le diptyque du journalisme contemporain. » « Quand je veux savoir les dernières nouvelles, écrit-il ­encore, avec humour, je lis saint Paul. » L’âge d’or de la grande presse est pour lui un autre cercle de l’enfer.

    Alors, c’est son Journal à lui qu’il écrit. Il a une faim et une soif « furieu­ses de la gloire de Dieu » et, dans le seul ­périodique qu’il lance lui-même — au titre évocateur : Le Pal —, il déclare : « J’ai longtemps cherché le moyen de me rendre insupportable à mes contem­porains. » Cet « écorcheur » — selon l’expression de Rémy de Gourmont, qui le disait aussi « prophète » — y réussit parfaitement… Il existe, pour lui, tant de motifs de colère : la Science, l’Industrie, le Riche. Et l’Eglise « visible », qui « bazarde Jésus-Christ », celle des bourgeois qui invoquent « le bon Dieu » pour ensuite le congédier, « quitte à le reprendre le jour même ». « Je n’écris que pour Dieu », scande-t-il. Dieu, son seul inspirateur, son seul lecteur et son seul censeur. L’homme est difficile à suivre parfois, comme en témoigne cet échange, qu’on peut lire dans la première partie du Journal (titrée « Le mendiant ingrat »), à la date du 11 décembre 1894 : « Il n’y a rien à faire avec vous, m’a dit une dame [Rachilde], vous marchez dans l’Absolu. — Dans quoi voulez-vous donc que je marche ? ai-je répondu. »

     

    A la fin de sa vie, Léon Bloy verra dans les catastrophes — le naufrage du Titanic, l’incendie du bazar de la Cha­rité — le châtiment de Dieu, jusqu’à l’ultime séisme de la guerre de 14-18. Mais ce grand désespéré n’est pas qu’un pamphlétaire, comme l’ont étiqueté beaucoup, pas plus qu’un « écrivain catho­lique », label dont il se défendait. Il se situait au-delà, dans les vertigineuses tourmentes de la croyance, dans l’enthousiasme d’un christianisme dont il fut sans doute le dernier croisé halluciné.

     

    (1) Léon Bloy, la littérature et la Bible, de Pierre Glaudes, éd. Les Belles Lettres/Essais, 464 p., 35 €.

    Lire aussi : Essais et pamphlets, de Léon Bloy, édition établie par Maxence Caron, éd. Bouquins/Laffont, 1 600 p., 34 €. Jeanne et Léon Bloy. Une écriture à quatre mains, de Natacha Galpérine, éd. du Cerf, 416 p., 29 

    Léon Bloy Éd. du Cerf, 352 p., 24 €.

  • Si nous avions le courage

    Tous nous serions transformés si nous avions le courage d'être ce que nous sommes.  Marguerite Yourcenar

  • Tu trouveras la paix

     

    Tu trouveras la paix

     

     

    Je crois que nous n'aurions jamais pu aimer Dieu si Jésus n'était pas devenu l'un d'entre nous...

    Et c'est afin de nous rendre capables d'aimer Dieu qu'il est devenu l'un d'entre nous en toute chose, sauf le péché.

    Créés à l'image de Dieu, nous avons été créés pour aimer, car Dieu est amour.

    Par sa passion, Jésus nous a enseignés comment pardonner par amour, comment oublier par humilité.

    Trouve Jésus et tu trouveras la paix.

     

    Mère Teresa de Calcutta

     

     

  • Mon Espérance est de te voir un jour

     

    Sainte face de jesus

     

     

    Vivre d'Amour, lorsque Jésus sommeille

    C'est le repos sur les flots orageux

     

    Oh ! ne crains pas, Seigneur, que je t'éveille

    J'attends en paix le rivage des cieux...

     

    La Foi bientôt déchirera son voile

    Mon Espérance est de te voir un jour

     

    La Charité enfle et pousse ma voile

    Je vis d'Amour ! ...

     

    Thérèse de Lisieux