Articles de mfressard

  • Il a la vie éternelle, celui qui croit

     

    Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (Jn 6, 44-51)

    En ce temps-là, Jésus disait aux foules : « Personne ne peut venir à moi, si le Père qui m'a envoyé ne l'attire, et moi, je le ressusciterai au dernier jour. Il est écrit dans les prophètes : Ils seront tous instruits par Dieu lui-même. Quiconque a entendu le Père et reçu son enseignement vient à moi. Certes, personne n'a jamais vu le Père, sinon celui qui vient de Dieu : celui- là seul a vu le Père. Amen, amen, je vous le dis : il a la vie éternelle, celui qui croit. Moi, je suis le pain de la vie. Au désert, vos pères ont mangé la manne, et ils sont morts ; mais le pain qui descend du ciel est tel que celui qui en mange ne mourra pas. Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c'est ma chair, donnée pour la vie du monde. » 

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  • Dans la trace des pas de Jésus-Christ

     Il faut marcher en mettant en cette vie, un pied puis un autre, dans la trace des pas de Jésus-Christ, sans se lasser, sans s'arrêter, sans regarder à droite ni à gauche, ni devant ni derrière soi... Il faut marcher, marcher toujours... Pauline Jaricot

                      

  • La nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle

     

    Que devons-nous faire pour travailler aux oeuvres de Dieu?

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (Jn 6, 22-29)

    Jésus avait rassasié cinq mille hommes, et ses disciples l'avaient vu marcher sur la mer. Le lendemain, la foule restée sur l'autre rive se rendit compte qu'il n'y avait eu là qu'une seule barque, et que Jésus n'y était pas monté avec ses disciples, qui étaient partis sans lui. Cependant, d'autres barques, venant de Tibériade, étaient arrivées près de l'endroit où l'on avait mangé le pain après que le Seigneur eut rendu grâce. Quand la foule vit que Jésus n'était pas là, ni ses disciples, les gens montèrent dans les barques et se dirigèrent vers Capharnaüm à la recherche de Jésus. L'ayant trouvé sur l'autre rive, ils lui dirent : « Rabbi, quand es-tu arrivé ici ? » Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : vous me cherchez, non parce que vous avez vu des signes, mais parce que vous avez mangé de ces pains et que vous avez été rassasiés. Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle, celle que vous donnera le Fils de l'homme, lui que Dieu, le Père, a marqué de son sceau. » Ils lui dirent alors : « Que devons-nous fairepour travailler aux oeuvres de Dieu? » Jésus leur répondit : « L'œuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé. » 

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  • La mesure de notre amour pour Dieu

     

    J15 - La mesure de l'amour

    « Ils ont Moïse et les prophètes : qu'ils les écoutent ! » (Lc 16, 29)


    « Notre amour envers le prochain est la mesure de notre amour pour Dieu. » (Edith Stein_"Science de la croix")

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  • Emmanuel Mounier

     

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    " Enfant, je fus toujours plus sérieux que mon âge. Homme, je me sens enfant parmi les hommes..."

     

    " C'était un de ces dimanches après-midi de dimanche parisien où la foule que l'on côtoie vous jette la banalité à la figure par bouffées qui nous feraient pleurer. Tout celà a été racheté  par un enfant de sept ans qui m'a donné un regard dont il ignora où il allait, et une famille d'ouvriers, le père et la mère, qui jouaient avec leurs enfants, sains, heureux, isolés, uniques, lumineux dans cette foule terne..."

    " Les enfantillages ont un temps, l'enfance n'en a pas... A mesure que les années passent, il faut, pour la garder, la reconquérir sur l'hostilité de l'âge.. On verra bien si nous ne savons pas, au moins à quelques-uns, parer à l'invasion de l'âme bourgeoise. Nous demandons, au bout du compte, à être jugés là-dessus. "

    " Le scandale régnera dans le monde tant que la masse des chrétiens ne pourra pas combattre sans réserves avec la masse des pauvres et des opprimés... Ce qu'il faut c'est que quelques-uns élisent domicile dans l'Absolu, portent les condamnations que personne n'ose porter, proclament l'impossible quand ils ne le peuvent réaliser et, s'ils sont chrétiens, ne se laissent pas, une fois de plus, avec leurs solutions de petit bourgeois, distancer par l'histoire..."

    " Le spirituel commande le politique et l'économique. L'esprit doit garder l'initiative et la maîtrise de ses buts qui vont à l'homme par-dessus l'homme, et non pas au bien-être... "

    " Je crois que dans le monde moderne qui est une fin du monde, la fin de l'époque bourgeoise, individualiste, qui a marqué les trois derniers siècles, le spirituel incarné est en grande partie mort, chez les gens mêmes qui le professent. Il ne s'agit pas de sauver ces formules mortes, il s'agit de redécouvrir un nouveau visage du spirituel."

    " Notre rôle n'est pas plus aujourd'hui qu'hier de constituer un camp nouveau dans la concurrence des camps, mais bien, situés comme nous le sommes dans le "camp" du socialisme contre "le camp" de l'oppression et du désordre, de garder mobile cette marge, chaque jour grandissante, d'hommes qui veulent le socialisme, mais un socialisme qui n'écrase pas trois générations pour sauver les suivantes. "

    " Une grande foi commence toujours par porter le fer et le feu. Elle atteste la pureté: il y aura toujours assez de volontaires pour les compromis..."

    " Je crois à l'utopie, non pas celle où l'on s'évade, mais celle où l'on se projette avec une volonté de fer. Tôt ou tard, cette force donne son fruit. Ne cédons pas trop nous-mêmes aux ironies réalistes... "

    Emmanuel Mounier

     

    " Lutter pour en finir avec les violences anonymes et les égoïsmes massifs de la modernité, s'appuyer sur le bon côté de l'histoire pour la changer réellement, telle fut la décision qu'il avait prise a vingt ans, son chemin sans retour, car, malgré la persistance du vieux monde, malgré la remontée des haines, il est mort dans cette espérance...Le plus difficile à comprendre aujourd'hui et le plus nécessaire était cette énergie qui lui faisait traverser en riant le doute et le malheur et à laquelle on peut donner le nom de foi, à la condition d'entendre par ce mot autre chose qu'une adhésion explicite à Dieu et à l'Eglise, un inlassable élan vers l'avenir des hommes, qui est plus que l'homme..."

    Jean-Marie Domenach

     

     

  • Handicap International

     

    URGENCE CORONAVIRUS
    Faire un don
    Réduction fiscale : 75%
     
    Session de sensibilisation du personnel à l'épidémie de COVID-19 au Bangladesh.
         

    Face à la progression de l’épidémie dans les pays les plus pauvres, Handicap International a déjà adapté plus de 50 de ses programmes pour répondre à la crise. Alors que la pandémie est encore relativement invisible dans ces pays en raison de la faible capacité de détection, nous nous préparons à une vague de l’ampleur d’un véritable Tsunami.  

    Les systèmes de santé, parfois inexistants, sont très rapidement dépassés. Par exemple au Burkina Faso ou en République Centrafricaine, il n’y a que quelques dizaines de lits de réanimation aujourd’hui opérationnels pour l’ensemble du pays, en République Centrafricaine, il n’y a que 3 respirateurs... Et dans ces pays à faible revenus, ce sont 19 millions de personnes - soit 84 % des réfugiés dans le monde - qui vivent dans des camps surpeuplés, parfois aussi grands que des villes.  

    Dans ce contexte, Handicap International se réinvente sur le terrain pour tenter d'apporter les réponses concrètes les plus efficaces pour soutenir les populations, dans la prévention et la détection de la maladie, l’effort de confinement et le renforcement des systèmes de santé. En voici quelques exemples : 

    - Reconversion des véhicules dédiés au déminage en transports de malades,

    - Transformation de nos ateliers de prothèses pour fabriquer du gel et des masques,

    - Mobilisation des travailleurs sociaux à des fins de détection de la maladie,

    - Diffusion à la radio de messages de prévention, formations aux gestes barrières.

    Et pour mener à bien toutes ces nouvelles initiatives totalement imprévisibles, nous avons besoin de vous. 
    C’est maintenant que la solidarité doit prendre le virus de vitesse, pour aider ces populations dont la plupart sont déjà fragilisées, en grande pauvreté, et pour stopper cette pandémie mondiale. 

    La solidarité, c’est le 1er geste barrière.
    Agissez sur Handicap International.fr

    D’avance, je vous remercie de tout cœur.
     

    Xavier Du Crest 
    Directeur de Handicap International France

     

     

     

     

  • Reste avec nous, car le soir approche et déjà le jour baisse

     

    Reste avec nous, car le soir approche et déjà le jour baisse

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (Lc 24, 13-35)

    Le même jour (c'est-à-dire le premier jour de la semaine), deux disciples faisaient route vers un village appelé Emmaüs, à deux heures de marche de Jérusalem, et ils parlaient entre eux de tout ce qui s'était passé. Or, tandis qu'ils s'entretenaient et s'interrogeaient, Jésus lui-même s'approcha, et il marchait avec eux. Mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître. Jésus leur dit : « De quoi discutez-vous en marchant ? » Alors, ils s'arrêtèrent, tout tristes. L'un des deux, nommé Cléophas, lui répondit : « Tu es bien le seul étranger résidant à Jérusalem qui ignore les événements de ces jours-ci. » Il leur dit : « Quels événements ? » Ils lui répondirent : « Ce qui est arrivé à Jésus de Nazareth, cet homme qui était un prophète puissant par ses actes et ses paroles devant Dieu et devant tout le peuple : comment les grands prêtres et nos chefs l'ont livré, ils l'ont fait condamner à mort et ils l'ont crucifié. Nous, nous espérions que c'était lui qui allait délivrer Israël. Mais avec tout cela, voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c'est arrivé. À vrai dire, des femmes de notre groupe nous ont remplis de stupeur. Quand, dès l'aurore, elles sont allées au tombeau, elles n'ont pas trouvé son corps ; elles sont venues nous dire qu'elles avaient même eu une vision : des anges, qui disaient qu'il est vivant. Quelques-uns de nos compagnons sont allés au tombeau, et ils ont trouvé les choses comme les femmes l'avaient dit ; mais lui, ils ne l'ont pas vu. » Il leur dit alors : « Esprits sans intelligence ! Comme votre cœur est lent à croire tout ce que les prophètes ont dit ! Ne fallait-il pas que le Christ souffrît cela pour entrer dans sa gloire ? » Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes, il leur interpréta, dans toute l'Écriture, ce qui le concernait. Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient, Jésus fit semblant d'aller plus loin. Mais ils s'efforcèrent de le retenir : « Reste avec nous, car le soir approche et déjà le jour baisse. » Il entra donc pour rester avec eux. Quand il fut à table avec eux, ayant pris le pain, il prononça la bénédiction et, l'ayant rompu, il le leur donna. Alors leurs yeux s'ouvrirent, et ils le reconnurent, mais il disparut à leurs regards. Ils se dirent l'un à l'autre : « Notre cœur n'était-il pas brûlant en nous, tandis qu'il nous parlait sur la route et nous ouvrait les Écritures ? » À l'instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem. Ils y trouvèrent réunis les onze Apôtres et leurs compagnons, qui leur dirent : « Le Seigneur est réellement ressuscité : il est apparu à Simon-Pierre. » À leur tour, ils racontaient ce qui s'était passé sur la route, et comment le Seigneur s'était fait reconnaître par eux à la fraction du pain. 

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