Journal de l'air
- Par mfressard
- Le 13/03/2013
- Dans Poésie ininterrompue
On est là, en équilibre.
La lumière est traversée
d’ombres brèves. On reste encore
pour l’espace, pour les branches,
pour l’ombre bleue, pour le merle,
pour les visages un instant
dans le jour sans nom. Pour ce
qui ne revient pas. On reste
encore pour ce qui vient.
Jacques Ancet