Articles de mfressard
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Le Grand choral de Bernard Lavilliers - Les mains d'or (avec Mino Cinelu)
- Par mfressard
- Le 09/02/2019
- Dans Musique de l'âme
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Marie Noël, entre le monde et Dieu
- Par mfressard
- Le 07/02/2019
- Dans Témoins de vie
Marie Noël se nommait Marie Rouget. À Auxerre, où elle naquit le 16 février 1883 et où elle résida jusqu'à sa mort, à 84 ans, le 23 décembre 1967, on l'appelle toujours joliment « la fille poussée au son des cloches ». En Bourgogne, le souvenir de la vieille demoiselle est à tout jamais présent. C'est que la vie de Marie Rouget n'est pas commune. Bien longtemps, en effet, beaucoup ignorèrent que celle qui allait devenir Marie Noël, la Marie Noël qu'admirèrent Aragon, Colette, François Mauriac, Montherlant et qui obtint le Grand Prix de l'Académie française pour l'ensemble de son oeuvre, était l'auteur prolifique de récits, de chansons, de berceuses, de complaintes, de contes, de poèmes et de psaumes qui la délivraient de l'attente, des ténèbres, du doute et de l'effroi de la mort. Une vie de lutte incessante, au fil des mots, contre le mal auquel seul peut répondre l'amour. Tour à tour émerveillée, joyeuse et soumise, Marie Noël fut une catholique ardente et sincère, toute donnée à Dieu, jusque dans l'épreuve. Rebelle, elle dialogua néanmoins jusqu'à sa mort avec le Seigneur, feignant d'ignorer qu'on peut discuter tant que l'on veut avec Dieu, tôt ou tard, c'est Lui qui a le dernier mot. Une inoubliable promenade sur des chemins de poésie au pays de la sérénité, dans les pas d'une grande figure du christianisme qui, s'usant le corps et l'âme, se perdit dans la vie des autres.
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Observatoire des Inégalités
- Par mfressard
- Le 30/01/2019
- Dans Humanité solidaire
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Solidarités International
- Par mfressard
- Le 22/01/2019
- Dans Humanité solidaire
Au Nord du Liban, 70 000 réfugiés syriens, dont 40 000 enfants, sont menacés par le froid et les pluies torrentielles*. Les équipes de SOLIDARITÉS INTERNATIONAL s'alarment sur le sort de ces familles vivant dans une situation d’extrême précarité.
Cette situation est particulièrement critique et nous devons agir vite !
Après 8 années d’errance, de souffrance et de chocs traumatiques, les réfugiés syriens du Liban sont plus vulnérables que jamais. Le pays est au bord du gouffre.
Sans plus attendre et afin d’éviter le pire nous avons besoin de votre soutien.
Nous appelons à une forte mobilisation générale.
Ne repoussez pas votre geste à demain…Agissez aujourd’hui !
Parce que la première réponse à la souffrance humaine doit être la solidarité, merci de nous donner les moyens d'agir.
Lora Vicarot
Coordinatrice terrain de SOLIDARITÉS INTERNATIONAL
*Source : UNHCR -
Votre plénitude
- Par mfressard
- Le 13/01/2019
- Dans Pensées-coups de coeur
Apprenez à ne répandre que votre plénitude. Bernard de Clairvaux
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Des milliers de bras se lèveront
- Par mfressard
- Le 13/01/2019
- Dans Paroles en liberté
On peut lier les mains à l'amour, on ne peut pas lui enlever le coeur. Celui à qui on a arraché les mains transmettra l'essentiel avec le coeur.
Alors des milliers de bras se lèveront, d'autres mains accompliront son oeuvre...
Jean-Yves Leloup
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Refus d'obéissance
- Par mfressard
- Le 03/01/2019
- Dans Lecture Passion
Un texte bouleversant dans lequel Jean Giono livre, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, un véritable plaidoyer pour la paix...
" Je ne peux pas oublier la guerre. Je le voudrais. Je passe des fois deux jours ou trois sans y penser et brusquement, je la revois, je la sens, je l'entends, je la subis encore. Et j'ai peur. Ce soir est la fin d'un beau jour de Juillet. La plaine sous moi est devenue toute rousse. On va couper les blés. L'air, le ciel, la terre sont immobiles et calmes...Vingt ans ont passé. Et depuis vingt ans, malgré la vie, les douleurs et les bonheurs, je ne me suis pas lavé de la guerre. L'horreur de ces quatre ans est toujours en moi. Je porte la marque. Tous les survivants portent la marque... " Jean Giono
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Désert intime
- Par mfressard
- Le 03/01/2019
- Dans Poésie ininterrompue
La voix de Dieu s'est tue
Et seul dans les jardins le soleil parle aux pauvres
Nous vivons tous dans un désert sans fin où notre cœur attend
Nous allumons des feux
Qui donc parmi les pierres fait refleurir la vie ?
Qui nous parle de près ?
Restons dans le désert
Nous y serons un jour visités en secret
Georges Haldas