Articles de mfressard
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Une belle fleur blanche
- Par mfressard
- Le 07/07/2019
- Dans Poésie ininterrompue
Jésus beaucoup trop bon,
Vous qui régnez en rouge aux vitraux de l'église
Avec un agneau qui vous aime
Et dans vos mains une belle fleur blanche
Qui ne pousse pas dans notre pauvre pays,
Je ne peux pas comprendre vos grandeurs,
mais je sais bien
Que vous écoutez toutes nos paroles,
sauf les méchantes,
Et que votre âme, qui a tout souffert,
connaît la mienne
Armand Robin
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Nous devons dire
- Par mfressard
- Le 07/07/2019
- Dans Paroles en liberté
Nous devons dire que nous ne voulons pas de ce système économique mondialisé, qui nous fait tant de mal !
Au centre, il doit y avoir l'homme et la femme, comme Dieu le veut, et non pas l'argent !
Pape François
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Il n'y a rien de meilleur au monde
- Par mfressard
- Le 07/07/2019
- Dans Paroles en liberté
Il n'y a rien de meilleur au monde que ces amitiés merveilleuses que Dieu éveille et qui sont comme le reflet de la gratuité et de la générosité de son amour.
Jacques Maritain
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Celui qui reste attaché à ce qui lui appartient
- Par mfressard
- Le 04/07/2019
- Dans L'évangile des jours
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Un risque appelé prière
- Par mfressard
- Le 04/07/2019
- Dans Pensées-coups de coeur
La foi n'est pas de l'ordre des connaissances, mais de l'ordre d'une exigence ; elle n'est pas un produit de la pensée, mais d'une décision. Roger Garaudy
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Valentina Lisitsa plays Liszt's Hungarian Rhapsody No. 2
- Par mfressard
- Le 21/06/2019
- Dans Musique de l'âme
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La grandeur de l'amour
- Par mfressard
- Le 21/06/2019
- Dans Pensées-coups de coeur
La grandeur de l'amour se mesure sur celle de la confiance. Daniel Brottier
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Connais-moi si tu peux !
- Par mfressard
- Le 21/06/2019
- Dans Poésie ininterrompue
Marie Noël
Connais-moi si tu peux, ô passant, connais-moi !
Je suis ce que tu crois et suis tout le contraire:
La poussière sans nom que ton pied foule à terre
Et l'étoile sans nom qui peut guider ta foi.
Je suis et ne suis pas telle qu'en apparence:
Calme comme un grand lac où reposent les cieux,
Si calme qu'en plongeant tout au fond de mes yeux,
Tu te verras en leur fidèle transparence...
Connais-moi ! connais-moi ! Ce que j'ai dit le suis-je ?
Ce que j'ai dit est faux - Et pourtant c'était vrai ! -
L'air que j'ai dans le coeur est-il triste ou bien gai ?
Connais-moi si tu peux. Le pourras-tu ?...Le puis-je ?...
Ô passant, quand tu verrais
Tous mes pleurs et tout mon rire,
Quand j'oserais tout te dire
Et quand tu m'écouterais,
Quand tu suivrais à mesure
Tous mes gestes, tous mes pas,
Par le trou de la serrure...
Tu ne me connaîtras pas !
Et quand passera mon âme
Devant ton âme un moment
Eclairée à la grand'flamme
Du suprême jugement,
Et quand Dieu comme un poème
La lira toute aux élus,
Tu ne sauras pas lors même
Ce qu'en ce monde je fus...
Tu le sauras si rien qu'un seul instant tu m'aimes !
Marie Noël